Psychologue depuis 2000

Je suis diplômée depuis 1997 d’un DESS-Master II de psychologie clinique et de psychopathologie. J’ai effectué un cursus universitaire de 6 années dont une année en pharmacologie.
Ce cursus universitaire m’a formée à la psychothérapie, l’écoute, l’accompagnement et le traitement des troubles psychiques, de la souffrance psychologique de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte.

Avec le temps mon expérience de psychologue s’est enrichie par différents champs d’interventions cliniques. J’ai travaillé en milieu psychiatrique pour jeunes adultes et adultes.
J’ai exercé également de nombreuses années dans le milieu carcéral notamment « en quartier mineur ».

Mon intérêt s’est ensuite porté sur les maladies somatiques et leurs retentissements psychologiques.
Voilà plus de 17 ans que j’exerce en milieu hospitalier sur le pôle douleurs-soins palliatifs et en secteur oncologique auprès des patients et de leurs proches.
La clinique du somatique m’a conduite à explorer d’autres techniques pour accompagner des patients très anxieux à cause de l’hospitalisation et de la maladie… J’ai découvert l’hypnose qui est d’une grande aide dans la gestion du stress et de l’anxiété.

Mes connaissances se sont approfondies dans ces différents champs d’activités avec bien sûr mon activité en cabinet pour laquelle je porte un grand intérêt.

J’ai par ailleurs été membre du jury au sein de différents IFSI (Institut de formation soins infirmiers) pour le concours menant à devenir infirmier.
J’interviens en institutions dans le cadre d’analyse de pratique professionnelle.

MES PUBLICATIONS
Soins palliatifs : proposition ou imposition

Un article paru dans le N°155 de la revue Etude sur la mort 2021,
de Héléna Fulchiron, docteur en psychologie, psychologue clinicienne USP Hôpital Saint-Joseph Marseille et Christine Burelli, psychologue clinicienne ETSP Hôpital Saint-Joseph Marseille.

Chaque pratique a son socle de construction truffé d’idéaux. S’ils donnent, dans un premier temps, une orientation bienveillante, ils peuvent devenir néfastes. C’est aussi le cas parfois des soins palliatifs dont la pratique est sous tendue par un “vouloir le bien pour l’autre” tout autant que par un idéal de ce que serait “la bonne mort”. Cet article se propose alors de questionner ces postures afin de réinterroger le positionnement que chacun peut prendre face à un sujet singulier.

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